Sara SEBTI
Sara SEBTI est la fondatrice de SHAREID, une start-up innovante qui développe la prochaine génération de logiciels d’authentification multifacteur. Cette solution avancée vise à renforcer la sécurité numérique en détectant l’authenticité des identifiants émis par les gouvernements à travers le monde.
Grâce à une technologie de pointe, SHAREID garantit la vivacité et la présence réelle de la personne derrière l’écran, évitant ainsi les fraudes et usurpations d’identité. La plateforme valide également toutes les données personnelles partagées en s’appuyant sur une méthode simple et intuitive, basée sur la reconnaissance d’un sourire.
En créant SHAREID, Sara répond à un besoin crucial de sécurité dans un contexte où les échanges numériques se multiplient rapidement.
Forte d’une expertise en technologies numériques et en cybersécurité, Sara SEBTI conduit SHAREID avec passion et détermination. Elle s’engage à offrir aux entreprises, institutions et utilisateurs finaux une solution fiable, innovante et adaptée aux défis actuels de l’identité numérique.
Ecoles & Formation :
École des Mines de Paris – Université PSL
L'École nationale supérieure des mines de Paris, aussi connue sous les noms de École des mines de Paris ou simplement...
Startup(s) fondée(s) ou géré(s) par Sara SEBTI :
Ozow
Ozow est une fintech sud-africaine leader dans les paiements par EFT automatisés et instantanés. Elle permet aux entreprises et particuliers d'effectuer des transactions sécurisées directement depuis leurs comptes bancaires, sans carte, favorisant ainsi l'inclusion financière et l'économie numérique.
Paystack
Paystack est une plateforme fintech acquise par Stripe, permettant aux entreprises africaines d'accepter des paiements sécurisés via cartes, comptes bancaires et mobile money. Elle simplifie les transactions en ligne et favorise l'expansion de l'économie numérique sur le continent.
Zazu
Zazu propose un système financier unifié pour les PME africaines, combinant banque, gestion des dépenses et conformité, permettant de formaliser l’économie informelle et de simplifier la finance professionnelle dans plusieurs pays d’Afrique.
